Après une nuit de publication, je suis un peu mou ce matin, pour découvrir le film de Didier Roten et François Vivier, "Pierre Loti, un homme du monde".
Je ne connaissait pas du tout cet aspect de l'auteur, ni l'empreinte assez négative qu'il a laissé de lui à Tahiti, certes ce film montre l'attachement d'un quartier de Papeete à son buste, Quand il est déboulonné de sa stèle et jeté dans la rivière Fautaua, toute proche.
Dégradation, d'un soir de fête, mais qui donnera lieu à sa restauration.
Un bon moment, un documentaire passionnant, un rappel pour les rochefortais de la vie de notre écrivain local.
L'après midi sera consacré à Annie Rose, l'artiste peintre qui expose le temps du festival à la salle de l'aurore.
Une peinture étrange, brute, épuré, des sculptures originale, mêlant l'ancestral aux techniques modernes, les coquillages fusionnent avec le verre et les tissus, les barbies s'habillent de vaudou, surprenant !
Pour finir cette édition du festival, le pot d'adieu, dernière occasion de discuter avec les auteurs, les festivaliers, et de dire pour finir un grand merci à tous les bénévoles sans qui rien ne serait possible.
En fait non, pour finir, un grand merci au chef, Michel Degorce-Dumas, pour avoir créé ce moment magique à Rochefort.